jeudi 27 octobre 2011

Investigations.

  


                                                                                                                                     Paris 20e, Mai 2011

mercredi 12 octobre 2011

Gil



"Le soir d'habitude manman vient nous border. Des fois elle nous chante. Elle est très excellent comme chanteuse. Des fois elle invente des chansons. Elle en a inventé une qui s'appelle Tous les enfants du quartier. Y a tous les noms des enfants de la rue et puis ensuite ça fait
           Eux ils font dodo et toi,
          Chut, chut, chut, chut,
          Eux ils font dodo et toi?
La peur que ça me fait mon vieux!"


quand j'avais 5 ans je m'ai tué, Howard Buten,

jeudi 6 octobre 2011

Forfanteries, Bis repetita...




Pour ceux qui l’ont vu et aimé,
vous pourrez revoir ou bien faire passer le message à vos amis.
Et pour ceux qui l’avaient raté à la création, c’est chouette on reprend bientôt.

On jouera aussi les 29 et 30 novembre à La Scène Nationale Le Carré, à Château-Gontier.

Une belle occasion de se retrouver et de découvrir





FORFANTERIES
d’Olivier Coyette




Mise en scène : Gaëlle Héraut

Samedi 15 Octobre, à 20h30

Festival Automne Théâtral
Espace Palante
2, rue Olivier Provost
22120 Hillion
(c’est tout près de St Brieuc, dans les Côtes d’Armor)


La pièce d’Olivier Coyette est une véritable plongée dans le corps et le cœur de l'acteur.
Une plongée au 1er, 2ème, 3ème, 15ème degré…
C'est une pièce drôle et poétique sur les métiers du théâtre…
Peut-être bien qu'un roi rencontrera un acteur en train de se préparer à jouer une autre pièce, lui-même à la rencontre du public, tombant dans un trou, un trou de mémoire… Une tempête pourra éclater, et avec la complicité de Shakespeare, cinq acteurs en sortiront, peut-être pas indemnes, comme on sort de répétitions, avec tout ce que cela contient de passions, de fureurs et de joies, comme dans la vie, quand on la réveille…

L’équipe :

Gweltaz Chauviré, l'éclairagiste.
Jean Gilbert-Capietto, le scénographe.
Pierre Guisnel, le régisseur
Lorinne Florange, l’administratrice
Gaëlle Héraut, une comédienne
Anthony Le Foll, un comédien
Alice Millet, une comédienne
Arnaud Stéphan, un comédien
Cédric Zimmerlin, un comédien


C'est de l'intime, c'est de l'enfance, c'est d'une grande exigence, ça se marre et c'est sérieux, ça se prend pas au sérieux, c'est de l'amour, des tiraillements, des contradictions, c'est beaucoup de fous-rires et de l'autodérision, c'est le soir des représentations 200 spectateurs pétés de rire, une grande vague; c'est moi metteur en scène qui me fait avoir à mon propre jeu quand je crois qu'une des actrices s'est coincé le dos en haut de l'échelle, en plein milieu d'une scène mais non c'était une proposition, du jeu; ce sont des spectateurs dans le hall qui ressortent des répliques comme après un bon film, c'est Alice qui trouve petit à petit l'arcane du trou de mémoire, d'où ça parle, d'elle; ce sont mes doutes, ce sont mes certitudes, ce sont tous nos jeux avec les questions, c'est aussi la rage des acteurs contre Coyette quand on travaille le texte des questions, c'est un théâtre avec les spectateurs qui nous attendent à la sortie, les yeux brillants; c'est poursuivre l'aventure avec Les Anciens Suzanne et Serge, c'est Abdel qui nous transmet comment réaliser des portés pour une chorégraphie opératique et qui manque de oups s'écrouler à chaque pas; c'est Coyette que je présente aux acteurs, une poignée de main et le "merci" chaleureux de chacun; c'est notre excitation et notre fatigue après avoir joué, c'est jouer, être, s'approcher de ce qu'on est, c'est une merveilleuse équipe au travail chaque jour, c'est un texte réjouissant, c'est forfanteries sans fioritures, c'est la forêt du maître et du valet que Jean peint un peu chaque jour, ce sont des costumes empruntés à d'autres spectacles d'autres compagnies, c'est du rouge, c'est Anthony qui s'emporte, c'est nous qui nous retrouvons dans ce qu'a écrit Coyette, c'est le public qui s'y retrouve aussi, la jubilation de ça; c'est à chaque date notre joie et cette grande mobilisation de tous, c'est aussi un peu Beckett, c'est un grand engouement des spectateurs à Rennes, c'est une tempête, ce sont des panneaux en bois, c'est un roi, c'est 4 kilos en moins et 1 tonne de bonheur en plus, c'est une création, c'est d'une grande honnêteté, c'est Olivier qui ne l'a toujours pas vu parce qu'Olivier souvent il est à l'étranger; ce sont des mots, beaucoup, de la parole sensible; c'est du sensible, c'est du sens, c'est une spectatrice qui me dit : "votre décor c'est nos paysages d'enfants", c'est oui beaucoup d'enfance; c'est une grande pagaille, c'est cette autre spectatrice après la Première qui me dit : "Mais tu es toute amour", c'est de l'amour en pagaille, c'est de l'amour, c'est Coyette; et Coyette c'est chouette !


G. Hérault


Une Coproduction : Cie L’Aronde / Théâtre de la Paillette (35) / Direction des Affaires Culturelles de Morsang-sur-Orge (91).
Avec le soutien de : La DRAC Bretagne, La Ville de Rennes, Le Théâtre National de Bretagne, Théâtre de l'ADEC et Le Théâtre des Lucioles.

mercredi 5 octobre 2011

"Quand j'avais 5 ans je m'ai tué"














Quelques (premiers) dessins de recherches autour du petit Gilbert Rembrandt, dit Gil, au sortie de la première lecture du roman d'Howard BUTEN
Quand j'avais 5 ans je m'ai tué 

En répétition et début de mise en place scénographique, en ce moment au théâtre Le Public !

Mise en scène par Magali  PINGLAUT

Avec Baptiste BLAMPAIN, Benjamin BOUTBOUL, Xavier DELACOLETTE, Caroline KEMPENERS, Mirabelle SANTKIN, Chloé STRUVAY et Emiliene TEMPELS

du 09/12/11 au 28/01/12, au théâtre Le Public/ Bruxelles