Pour ceux qui l’ont vu et aimé,
vous pourrez revoir ou bien faire passer le message à vos amis.
Et pour ceux qui l’avaient raté à la création, c’est chouette on reprend bientôt.
On jouera aussi les 29 et 30 novembre à La Scène Nationale Le Carré, à Château-Gontier.
Une belle occasion de se retrouver et de découvrir
FORFANTERIES
d’Olivier Coyette
Mise en scène : Gaëlle Héraut
Samedi 15 Octobre, à 20h30
Festival Automne Théâtral
Espace Palante
2, rue Olivier Provost
22120 Hillion
(c’est tout près de St Brieuc, dans les Côtes d’Armor)
La pièce d’Olivier Coyette est une véritable plongée dans le corps et le cœur de l'acteur.
Une plongée au 1er, 2ème, 3ème, 15ème degré…
C'est une pièce drôle et poétique sur les métiers du théâtre…
Peut-être bien qu'un roi rencontrera un acteur en train de se préparer à jouer une autre pièce, lui-même à la rencontre du public, tombant dans un trou, un trou de mémoire… Une tempête pourra éclater, et avec la complicité de Shakespeare, cinq acteurs en sortiront, peut-être pas indemnes, comme on sort de répétitions, avec tout ce que cela contient de passions, de fureurs et de joies, comme dans la vie, quand on la réveille…
Une plongée au 1er, 2ème, 3ème, 15ème degré…
C'est une pièce drôle et poétique sur les métiers du théâtre…
Peut-être bien qu'un roi rencontrera un acteur en train de se préparer à jouer une autre pièce, lui-même à la rencontre du public, tombant dans un trou, un trou de mémoire… Une tempête pourra éclater, et avec la complicité de Shakespeare, cinq acteurs en sortiront, peut-être pas indemnes, comme on sort de répétitions, avec tout ce que cela contient de passions, de fureurs et de joies, comme dans la vie, quand on la réveille…
L’équipe :
Gweltaz Chauviré, l'éclairagiste.
Jean Gilbert-Capietto, le scénographe.
Pierre Guisnel, le régisseur
Lorinne Florange, l’administratrice
Gaëlle Héraut, une comédienne
Anthony Le Foll, un comédien
Alice Millet, une comédienne
Arnaud Stéphan, un comédien
Cédric Zimmerlin, un comédien
Gweltaz Chauviré, l'éclairagiste.
Jean Gilbert-Capietto, le scénographe.
Pierre Guisnel, le régisseur
Lorinne Florange, l’administratrice
Gaëlle Héraut, une comédienne
Anthony Le Foll, un comédien
Alice Millet, une comédienne
Arnaud Stéphan, un comédien
Cédric Zimmerlin, un comédien
C'est
de l'intime, c'est de l'enfance, c'est d'une grande exigence, ça se
marre et c'est sérieux, ça se prend pas au sérieux, c'est de l'amour,
des tiraillements, des contradictions, c'est beaucoup de fous-rires et
de l'autodérision, c'est le soir des représentations 200 spectateurs
pétés de rire, une grande vague; c'est moi metteur en scène qui me fait
avoir à mon propre jeu quand je crois qu'une des actrices s'est coincé
le dos en haut de l'échelle, en plein milieu d'une scène mais non
c'était une proposition, du jeu; ce sont des spectateurs dans le hall
qui ressortent des répliques comme après un bon film, c'est Alice qui
trouve petit à petit l'arcane du trou de mémoire, d'où ça parle, d'elle;
ce sont mes doutes, ce sont mes certitudes, ce sont tous nos jeux avec
les questions, c'est aussi la rage des acteurs contre Coyette quand on
travaille le texte des questions, c'est un théâtre avec les spectateurs
qui nous attendent à la sortie, les yeux brillants; c'est poursuivre
l'aventure avec Les Anciens Suzanne et Serge, c'est Abdel qui nous
transmet comment réaliser des portés pour une chorégraphie opératique et
qui manque de oups s'écrouler à chaque pas; c'est Coyette que je
présente aux acteurs, une poignée de main et le "merci" chaleureux de
chacun; c'est notre excitation et notre fatigue après avoir joué, c'est
jouer, être, s'approcher de ce qu'on est, c'est une merveilleuse équipe
au travail chaque jour, c'est un texte réjouissant, c'est forfanteries
sans fioritures, c'est la forêt du maître et du valet que Jean peint un
peu chaque jour, ce sont des costumes empruntés à d'autres spectacles
d'autres compagnies, c'est du rouge, c'est Anthony qui s'emporte, c'est
nous qui nous retrouvons dans ce qu'a écrit Coyette, c'est le public qui
s'y retrouve aussi, la jubilation de ça; c'est à chaque date notre joie
et cette grande mobilisation de tous, c'est aussi un peu Beckett, c'est
un grand engouement des spectateurs à Rennes, c'est une tempête, ce
sont des panneaux en bois, c'est un roi, c'est 4 kilos en moins et 1
tonne de bonheur en plus, c'est une création, c'est d'une grande
honnêteté, c'est Olivier qui ne l'a toujours pas vu parce qu'Olivier
souvent il est à l'étranger; ce sont des mots, beaucoup, de la parole
sensible; c'est du sensible, c'est du sens, c'est une spectatrice qui me
dit : "votre décor c'est nos paysages d'enfants", c'est oui beaucoup
d'enfance; c'est une grande pagaille, c'est cette autre spectatrice
après la Première qui me dit : "Mais tu es toute amour", c'est de
l'amour en pagaille, c'est de l'amour, c'est Coyette; et Coyette c'est
chouette !
G. Hérault
Une Coproduction : Cie L’Aronde / Théâtre de la Paillette (35) / Direction des Affaires Culturelles de Morsang-sur-Orge (91).
Avec le soutien de : La DRAC Bretagne, La Ville de Rennes, Le Théâtre National de Bretagne, Théâtre de l'ADEC et Le Théâtre des Lucioles.
Avec le soutien de : La DRAC Bretagne, La Ville de Rennes, Le Théâtre National de Bretagne, Théâtre de l'ADEC et Le Théâtre des Lucioles.
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