Dessins, Illustrations, collages, gravures, photographies et autres bidouilles de Jean GILBERT-CAPIETTO
jeudi 31 mai 2012
mardi 22 mai 2012
Zic à la plage!
Quelques recherches graphiques pour le projet déco du bar Zic à la plage!
A la Guinguette de Preuilly, ( sur les bords du Cher, en Berry)
Chaque vendredi, à partir du 1er Juin!!!!
consultez le programme, résolument Rock (et un peu Blues aussi, sur http://www.zicalaplage.com/
et venez donc user vos coudes sur ce bar (encore trop neuf)
parce que pas encore fini de peindre!!!
vendredi 18 mai 2012
mercredi 16 mai 2012
vendredi 11 mai 2012
Nicaragua, sans suite!
vue sur le Momotombo, route Matagalpa-Managua, Avril 2012
« Le baptême des volcans est un ancien usage qui
remonte aux premiers temps de la conquête. Tous
les cratères du Nicaragua furent alors sanctifiés, à
l’exception du Momotombo, d’où l’on ne vit
jamais revenir les religieux qui s’étaient chargés
d’aller y planter la croix. »
Séquier : Voyage dans l’Amérique du Sud.
Victor Hugo
extrait de “La Légende des Siècles”,
XXVII, l’Inquisition.
le Momotombo , prise de vue devant le lac Apoyeque
Vendeur de glaces dans les rues de Matagalpa, pris la main dans le sac...
Chaque jour, une heure avant la nuit, à Chilamate, sur le bord du Lac Apanas, non loin de Jinotega
on prépare le stade de basebal, et on rebouche les trous laissé par les vaches....
José dans le feu de l'action!
tenue réglementaire pour jouer au Basebal ici
José me fait la visite avant de prendre le Bus
vue du Lago Apanas
Les bus du Nicaragua, pour la majorité, d'anciens Scholl Bus jaune américains, remis aux couleurs d'ici!
« Le baptême des volcans est un ancien usage qui
remonte aux premiers temps de la conquête. Tous
les cratères du Nicaragua furent alors sanctifiés, à
l’exception du Momotombo, d’où l’on ne vit
jamais revenir les religieux qui s’étaient chargés
d’aller y planter la croix. »
Séquier : Voyage dans l’Amérique du Sud.
Trouvant les tremblements de terre trop fréquents,
Les rois d’Espagne ont fait baptiser les volcans
Du royaume qu’ils ont en dessous de la sphère ;
Les volcans n’ont rien dit et se sont laissé faire,
Et puis le Momotombo lui seul n’a pas voulu.
Plus d’un prêtre en surplis, par le saint-père élu,
Portant le sacrement que l’Eglise administre,
L’œil au ciel, a monté la montagne sinistre ;
Beaucoup y sont allés, pas un seul n’est revenu.
O vieux Momotombo, colosse chauve et nu.
Qui songe près des mers, et fais de ton cratère
Une tiare d’ombre et de flamme à la terre.
Pourquoi, lorsqu'à ton seuil terrible nous frappons,
Ne veux-tu pas du Dieu qu’on t’apporte ? Réponds.
La montagne interrompt son crachement de lave,
Et le Momotombo répond d’une voix grave :
« Je n’aimais pas beaucoup le dieu qu’on a chassé.
Cet avare cachait de l’or dans un fossé ;
Il mangeait de la chair humaine ; ses mâchoires
Etaient de pourriture et de sang toutes noires.
Son antre était un porche au farouche carreau,
Temple sépulcre orné d’un pontife bourreau ;
Des squelettes riaient sous ses pieds ; les écuelles
Où cet être buvait le meurtre étaient cruelles ;
Sourd, difforme, il avait des serpents au poignet ;
Toujours entre ses dents un cadavre saignait ;
Ce spectre noircissait le firmament sublime.
J’en grondais quelques fois au fond de mon abîme.
Aussi, quand sont venus, fiers sur les flots tremblants.
Et du côté d’où vient le jour, des hommes blancs,
Je les ai bien reçus, trouvant que c’était sage.
— L’âme a certainement la couleur du visage,
Disais-je, l’homme blanc, c’est comme le ciel bleu ;
Et le dieu de ceux-ci doit être un très bon dieu.
On ne le verra point de meurtres se repaître. —
J’étais content ; j’avais horreur de l’ancien prêtre ;
Mais quand j’ai vu comment travaille le nouveau,
Quand j’ai vu flamboyer, ciel juste ! à mon niveau !
Cette torche lugubre, âpre, jamais éteinte,
Sombre, et que vous nommez l’Inquisition sainte,
Quand j’ai pu voir comment Torquemada s’y prend
Pour dissiper la nuit du sauvage ignorant,
Comment il civilise, et de quelle manière
Le Saint-Office enseigne et fait de la lumière,
Quand j’ai vu dans Lima d’affreux géants d’osier,
Pleins d’enfants, pétiller sur un large brasier,
Et le feu dévorer la vie, et les fumées
Se tordre sur les seins des femmes allumées ;
Quand je me suis senti parfois presque étouffé
Par l’âcre odeur qui sort de votre autodafé,
Moi qui ne brûlais rien que l’ombre en ma fournaise,
J’ai pensé que j’avais eu tort d’être bien aise ;
J’ai regardé de près le dieu de l’étranger,
Et j’ai dit : — Ce n’est pas la peine de changer. »
Victor Hugo
le Momotombo , prise de vue devant le lac Apoyeque
Vendeur de glaces dans les rues de Matagalpa, pris la main dans le sac...
Chaque jour, une heure avant la nuit, à Chilamate, sur le bord du Lac Apanas, non loin de Jinotega
on prépare le stade de basebal, et on rebouche les trous laissé par les vaches....
José dans le feu de l'action!
tenue réglementaire pour jouer au Basebal ici
José me fait la visite avant de prendre le Bus
vue du Lago Apanas
Les bus du Nicaragua, pour la majorité, d'anciens Scholl Bus jaune américains, remis aux couleurs d'ici!
samedi 5 mai 2012
mercredi 2 mai 2012
Nicaragua.... encore un peu de couleurs..
Cancha de foot a Léon, sur fond de peinture révolutionnaire
petits fruits tres bon par grosse chaleur
l'art dans les églises...
La cathédrale de León, patrimoine mondail de l´UNESCO
il est partout...
la sieste sur palier..
chaque quartier a son église..
musée de la révolution, guidé par d`anciens combattants
maison d'hier...
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